Poème traduit en 7 langues
Une seule œuvre de Davtak Kertog a subsisté grâce à Movsès Daskhourantsi, son Élégie sur la mort du grand prince Javanchir ; plus vieux poème arménien séculier conservé, il s'agit d'un acrostiche alphabétique en vers, d'inspiration païenne4 On y détecte toutefois l'influence de l'hymne Âmes consacrées du catholicos Komitas d'Aghdsk