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Bibliothèque de l'Église apostolique arménienne - Paris
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Taline TER MINASSIAN
( n. 1963 )

L'auteur

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Naissance le 9 juin 1963

Agrégée et docteur en histoire, professeur des universités à l'Inalco, où elle enseigne l'histoire du Caucase et l'évolution de la question des nationalités pendant la période soviétique

[ Complément : fille de Mme Anahide Ter-Minassian (1933-2019) ]

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 Le défi de l'indépendance - Arménie (1919-1920)
Titre : Le défi de l'indépendance - Arménie (1919-1920) / auteur(s) : Rouben TER-MINASSIAN - Traduit de l'arménien par Waïk Ter-Minassian, Préface de Taline Ter Minassian, Postface de Robert Ilbert
Éditeur : Thaddée
Année : 2021
Imprimeur/Fabricant : Imprimé en Europe
Description : 14,5 x 21 cm, couverture illustrée
Collection : Mémoires
Notes :
Autres auteurs : Taline TER MINASSIAN [préfacier] -
Sujets : Armenie -- Histoire -- 1901-.... * Parti Dachnak Armenie -- Histoire -- 1870-1914 * Rouben 1882-1951
ISBN : 9782919131471
Lecture On-line : non disponible

Commentaire :

Source de violentes polémiques et stigmatisée par les milieux ultra-nationalistes turcs et azerbaïdjanais, l'histoire de l'arménisation de l'Arménie a trop souvent été éludée, voire passée sous silence du côté arménien. Les mémoires de Rouben, ministre de la Défense de la République d'Arménie de 1919 à 1920, ont été édités en 1951. La traduction en français du tome 7, réalisée en 1989, aborde justement cette question. Il aura fallu attendre 2021 pour publier ce texte. Respectivement belle-fille et petite-fille de l'auteur, les historiennes Anahide Ter Minassian (1929-2019) et Taline Ter Minassian, ont pris soin de le commenter.
Trois ans après le génocide de 1915 perpétré principalement dans l'espace anatolien, les Arméniens réalisent un exploit. Ils proclament à Erevan, le 28 mai 1918, une république, dite araratienne, dans une ancienne marge de l'Empire russe. Erevan jusqu'ici simple chef-lieu de province devient la capitale du jeune État. Une nouveauté impensable. Le pays, le yerguir, ne se situait-il pas à l'ouest, de l'autre côté de la frontière, en territoire ottoman, avec la légendaire Van pour capitale ? Le défi est d'autant plus grand et paradoxal que l'indépendance de cette Arménie moribonde a été exigée par les Turcs qui s'empressent d'en faire reconnaître les limites réduites en imposant le traité de Batoum (4 juin 1918). Pour les Arméniens, l'odyssée de l'indépendance ne fait que commencer.
À peine sorties du giron russe, les trois jeunes républiques caucasiennes (Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan) s'affrontent. Les conflits les plus acharnés opposent l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Les dirigeants de la Première République sont alors confrontés à une épreuve terrible. Comment tenir face à des populations locales tatares (azéries) hostiles qui ne reconnaissant pas son autorité ? Ministre de l'Intérieur et de la Défense du Gouvernement-Bureau de H amo Ohandjanian en mai 1920, Rouben (1882-1951) estime qu'il n'a pas le choix. L'idéal démocratique de l'Arménie est mis à l'épreuve du réel et de la raison d'État. Si l'Arménie exsangue veut survivre alors même qu'elle abrite des réfugiés en surnombre, il lui incombe de réduire les éléments armés turco-tatares et de bouter les populations hostiles. Ainsi, Rouben, leader pragmatique et aguerri, n'aura de cesse d'arméniser l'Arménie, par le fer et par le feu.
La traduction française du tome 7 des mémoires de Roupen Ter Minassian, qui porte sur son expérience au gouvernement de la Première République arménienne indépendante de 1918 à 1920. Ce livre évènement raconte de l'intérieur, comment s'est forgé et construit de toute pièce, sous l'influence de quelques hommes issus de la FRA Dachnaktsoutioun, un Etat national pour le peuple arménien survivant du génocide, la pire tragédie de son histoire.

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 Patrimoine et architecture dans les États post-soviétiques
Titre : Patrimoine et architecture dans les États post-soviétiques / auteur(s) : Taline TER MINASSIAN - [actes des journées d'étude des 17 février et 25 mai 2011, Paris] / [organisées par l'Observatoire des États post-soviétiques de l'Institut national des langues et des civilisations orientales] ; sous la direction de Taline Ter Minassian
Éditeur : Presses Universitaires de Rennes
Année : 2013
Imprimeur/Fabricant : 35-Rennes : Presses de la reprographie de l'Université Rennes 2
Description : 17,5 x 25 cm, 320 p.-XX p. de planches : ill. en noir et en coul., couverture illustrée en couleurs
Collection : Art & société, ISSN 1272-1603
Notes : Notes bibliographiques, Index
Autres auteurs :
Sujets : Monuments historiques -- Conservation et restauration -- Ex-URSS -- Actes de congrès ; [actes des journées d'étude des 17 février et 25 mai 2011, Paris] / [organisées par l'Observatoire des États pos
ISBN : 9782753526426
Lecture On-line : non disponible

Commentaire :

Par bien des aspects, l’URSS et son proche périmètre d’expansion a constitué une véritable aire de civilisation dont le legs matériel et les traces sont encore perceptibles. Entre identités nationales et héritage de la "civilisation soviétique", l’épistémologie du patrimoine dans les États post-soviétiques est un thème rarement abordé. Le présent volume pose des jalons en identifiant quelques objets de patrimoine et les conceptions qui présidèrent successivement ou alternativement à leur destruction, à leur restauration et à leur valorisation, voire à leur reconstruction. Qu’on l’aborde sous l’angle de l’histoire, de l’archéologie, de l’anthropologie, des techniques de restauration, de la photographie ou de l’architecture, la mise en patrimoine se pose-t-elle en termes spécifiques ? Quelles étaient les techniques de restauration et de conservation du patrimoine archéologique en Russie, au Caucase ou en Asie centrale ? Quelles en étaient les finalités politiques, économiques et esthétiques ? Dans quelle mesure ces pratiques demeurent-elles toujours d’actualité ? Ce livre qui traite des enjeux contemporains du patrimoine archéologique, s’intéresse également au statut patrimonial des monuments et de l’architecture soviétiques. Vingt après la chute de l’URSS (1991) peut-on approcher la période soviétique par le biais de l’archéologie ? De la conception soviétique du patrimoine à la formation d’un patrimoine soviétique, cet ouvrage ouvre ainsi la voie à une lecture des références à la fois modernes et patrimoniales de l’architecture post-soviétique.

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 Reginald Teague-Jones - Au service secret de l'Empire britannique
Titre : Reginald Teague-Jones - Au service secret de l'Empire britannique / auteur(s) : Taline TER MINASSIAN -
Éditeur : Grasset
Année : 2012
Imprimeur/Fabricant : 27-Mesnil-sur-l'Estrée : Impr. CPI Firmin-Didot
Description : 15,5 x 24 cm, 460 p.-[8] p. de pl.) : ill., carte, couverture illustrée en couleurs
Collection : Documents français
Notes :
Autres auteurs :
Sujets : Teague-Jones, Reginald (1889-1989 ) -- Biographies -- Espionnage britannique -- 1900-1945
ISBN : 9782246744412
Lecture On-line : non disponible

Commentaire :

Oui, il existait aussi un "colonel Lawrence" au Caucase. Le voici admirablement portraituré dans toutes ses aventures par la plume alerte de Taline Ter Minassian. Inattendu et vraiment passionnant.

Voici la biographie d’un homme qui est un genre en soi : l’Espion anglais. Né en 1889 près de Liverpool, Reginald Teague-Jones fait ses études à Saint-Pétersbourg. Durant son séjour russe, il assiste à la révolution de 1905, cette "répétition générale" qui annonce les bouleversements révolutionnaires. Peu avant la première guerre mondiale, il s'engage dans les services secrets de l'Inde britannique, quittant pour longtemps une terre natale qu'il ne cessera jamais pourtant de servir.

Agent opérationnel dans les territoires du "Grand Jeu", cette partie du monde où Russes et Allemands tentent de disputer sa suprématie à l'Angleterre, on le retrouve à Peshawar, à Bakou, au Turkestan, en Géorgie et en Iran. Pendant plus de trente ans, il intrigue au service secret de l'Empire, participant à des opérations extravagantes contre les Bolcheviks pour lesquels il incarne la figure même de l'agent impérialiste. Où l'on verra que James Bond n'est pas né d'hier


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 Erevan, La construction d'une capitale à l'époque soviétique
Titre : Erevan, La construction d'une capitale à l'époque soviétique / auteur(s) : Taline TER MINASSIAN - préface de Jean-Yves Andrieux
Éditeur : Presses universitaires de Rennes
Année : 2007
Imprimeur/Fabricant : 53-Bonchamp-lès-Laval : Impr. Barnéoud
Description : 1 vol. (269 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm
Collection : Art et Société
Notes : Bibliogr. p. 253-257. Notes bibliogr. Glossaire. Index
Autres auteurs :
Sujets : Urbanisme -- Aspect social -- Arménie -- Erevan (Arménie)
ISBN : 9782753503694
Lecture On-line : non disponible

Commentaire :

Le XXe siècle a constitué pour les Arméniens le siècle de l'accession à l'Etat sur un territoire exigu situé aux marges de l'Arménie historique. Ce territoire réduit a vu successivement l'éclosion de la première république indépendante de 1918-1920. d'une république fédérée au sein de l'URSS et d'une troisième république depuis l'indépendance en 1991. L'accession à l'Etat s'est traduite par la promotion au rang de capitale d'un chef-lieu provincial, Erevan - chef-lieu du khanat de Erevan sous la domination perse. puis du gouvernement de Erevan au sein de l'Empire russe - dont l'identité arménienne et la monumentalité frappaient si peu les voyageurs à la fin du XIXe siècle qu'ils se bornaient souvent à n'en décrire que la mosquée. L'histoire et le développement de Erevan à l'époque soviétique illustre sous l'angle de la géographie urbaine, le processus de construction nationale qui a contribué à faire de cette ville une " icône " pour les Arméniens du monde entier. Fondé sur une approche monographique, cet ouvrage montre sous divers aspects - entre autres, l'architecture, l'urbanisme, les pouvoirs locaux - comment Erevan est devenue une capitale à l'époque soviétique.


Autre commentaire

D’une grande érudition et remarquablement illustré, le livre de Taline Ter Minassian ne vient pas seulement combler un vide dans les études du monde russe et soviétique, il pose un paradoxe qui ne peut manquer de nous interpeller sur certaines carences de notre historiographie : «...alors que le rapport au territoire a été une composante essentielle du discours et de l'imaginaire national, les études n'ont que trop rarement abordé cette question sous l'angle de ht géographie ». S'il va de soi aujourd'hui qu'Erevan est la capitale de l'Arménie, la douzième capitale des Arméniens comme le mentionnait une exposition récente à la Conciergerie, Taline Ter Minassian rappelle que l'accession à ce titre de « capitale » relève d'un tour de force où le développement forcené de la ville à l'époque soviétique fut en même temps, consciemment ou non, l'épopée de la construction d'une nation. Erevan, en effet, à la fin du XIX' siècle et au début du XX1' siècle, ne jouit pas de la réputation d'un foyer culturel arménien, comme Tiflis ou Bakou, ou du rayonnement d'une ville littéraire, comme Constantinople ; c'est un bourg poussiéreux, dont le caractère arménien est si peu évident qu'un voyageur comme H. F. B. Lynch n'en mentionne que la mosquée persane.

Un bourg hétéroclite
L'aménagement urbain de cette petite ville aux jardins se caractérise alors par la prédominance de la cour où se rencontre et se côtoie une population mixte composée d'Arméniens, d'Azéris qu'on appelait alors Tatars, de Kurdes et de Turcs. En moins d'un siècle, ce chef-lieu sous domination persane d'abord, puis russe, s'est hissé au rang de métropole arménienne dépassant le million d'habitants à la faveur d'un processus d'ethnicisation, d'une révolution urbaine, d'une industrialisation sans précédent et d'une forte croissance démographique. Certes, ce n'est pas Saint-Pétersbourg, construite elle aussi en moins d'un siècle sous l'impulsion de Pierre-le-Grand, même s'il n'est pas anodin de remarquer que l'architecte Alexandre Tamanian, principal concepteur de l'urbanisme d'Erevan, y a fait ses études. Le personnage est adulé jusqu'à nos jours, son effigie est sur les billets de banque de 500 drams comme son plan d'urbanisme qui emprunte au poète Tcharents la métaphore de ville solaire. 11 faut dire que sa trajectoire est impressionnante puisqu'il quitte la Russie pour venir en Arménie lors de l'indépendance de 1918-1920, il se réfugie à Tabriz en 1921 dans le foyer de résistance dachnag, après la soviétisation du pays, et retourne peu après en Arménie soviétique où il sera l'inventeur, le promoteur d'un style néo-arménien d'inspiration médiévale et le premier grand bâtisseur de la capitale !

Accueil des réfugiés
Avec une rage de vivre sans pareille, la ville qui a accueilli les réfugiés de 1915, poursuit à l'ère soviétique son développement tous azimuts. Sur le plan institutionnel et politique, l'édification de l'ovale de l'actuelle Place de l'Indépendance et des bâtiments administratifs qui l'entourent ; sur le plan culturel, la construction de l'Opéra et celle du Maténadaran ; sur le plan industriel, l'implantation du gigantesque complexe de caoutchouc Naïrite, et, non loin de la ville, en zone sismique, l'implantation de la centrale nucléaire Medzamor. Tout cela témoigne de la volonté coriace de la plus petite des 15 républiques fédérées de l'Union soviétique de figurer parmi les villes les plus dynamiques de l'URSS, quel qu'en soit le coût. Avec l'emploi de la main d'oeuvre concentrationnaire, si besoin. Avec des projets jamais complètement achevés, comme celui du métro. Sans oublier les désastres écologiques et ceux générés par la corruption et la négligence des normes de construction.

Appropriation
Cette affirmation de soi de la capitale, en quête de légitimité et de reconnaissance, est indissociable de l'affirmation de son style et de son identité. Maturation d'un long processus au cours duquel le pouvoir soviétique central ne parvient pas à empêcher l'appropriation par les citadins de l'espace urbain qu'ils ressentent et vivent comme le leur.

2750 ans
On le verra nettement en 1965, lors de la première commémoration autorisée du génocide de 1915. comme lors des grandes manifestations de 1988. Avec comme point culminant le retour triomphant dans la capitale des membres du Comité Karabagh emprisonnés par Gorbatchev à Moscou : le cortège de voitures, qui les ramène de l'aéroport Zvartnotz, sillonne les axes principaux de la ville et fait le tour de la future place de l'Indépendance. La dimension symbolique de la geste n'échappera à personne. Depuis la mise en œuvre de la politique de la mémoire avec l'érection du monument de Dzidzernagapert et la commémoration des 2750 ans d'Erevan-Erebouni en 1968, l'ère de l'autocélébra-tion vient de commencer.

Erevan se livre à un véritable culte païen d'elle-même, semblant devenir sa propre finalité au fur et à mesure qu'elle acquiert la dimension d'une Cité-Etat. L'insouciance générée par la relative prospérité de l'ère brejnévienne, que renforce le choc pétrolier de 1973, n'a pas peu contribué à l'attractivité de la capitale qui accueille bientôt la moitié des habitants du pays qui se sent délaissé.

Rayonnement
Erevan exulte. Erevan rayonne sur la diaspora qui vibre sur les gradins du stade où elle rencontre, pour la première fois, la foule arménienne, en assistant aux matchs de football de l'équipe Ararat, avant de découvrir le peuple souverain en 1991. A la suite des vagues de rapatriement de l'entre-deux-guerres et de celles du Nerkart (1946-47), alors que les nouveaux arrivants imprègnent leur marque spécifique dans les quartiers qu'ils construisent, Erevan tend de plus en plus à imposer sa centralité et revendiquer le statut de ville-icône.
Au vu de certains projets urbanistiques post-soviétiques, réalisés aujourd'hui par ou pour des Arméniens de la diaspora, on peut se demander si un jour la ville ne reflétera pas dans son microcosme la dispersion du monde arménien.

Isabelle Kortian, Nouvelles d’Arménie Magazine, numéro 131, Juin 2007


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 De l'URSS à la Russie : la civilisation soviétique, genèse, histoire et métamorphoses de 1917 à nos jours
Titre : De l'URSS à la Russie : la civilisation soviétique, genèse, histoire et métamorphoses de 1917 à nos jours / auteur(s) : Taline TER MINASSIAN - Auteurs : Taline Ter Minassian et Jean-Robert Raviot
Éditeur : Ellipses
Année : 2006
Imprimeur/Fabricant : 86-Ligugé : Aubin impr
Description : 14,5 x 21 cm, 176 pages, couverture illustrée en couleurs
Collection :
Notes : Bibliogr. p. 170-174. Notes bibliogr
Autres auteurs :
Sujets : URSS -- Civilisation
ISBN : 9782729827755
Lecture On-line : non disponible

Commentaire :

L'Histoire politique et sociale de l'URSS (1911-1991) et de la décennie post-soviétique (depuis 1991) est celle d'une véritable civilisation. La compréhension de celle-ci permet aujourd'hui d'éclairer, quinze ans après là disparition de l'URSS, les problèmes politiques, économiques et sociaux qui se posent à la Russie et aux autres pays issus du bloc socialiste. La périodisation retenue est classique et le plan de l'ouvrage épouse fidèlement les méandres de l'histoire politique. Les quatre premiers chapitres insistent sur la fabrication de la nouvelle société et d'un "collectif soviétique ". Les quatre derniers chapitres sont consacrés à la résurgence du " particulier " et fournissent une analyse des causes de l'effondrement du modèle de cette autre modernité du XXe siècle. Certains thèmes jalonnent l'ensemble de l'ouvrage : l'urbanisation et le développement des villes, la question des nationalités, la stratification sociale et les inégalités, l'évolution de la nomenklatura et, d'une manière générale, les rapports société/pouvoir.

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