Avant-proposC'est pour la jeunesse de mon pays, pour cette jeunesse esse, déracinée de la mère patrie, que récris cette petite histoire. C'est en lisant et en étudiant constamment l'histoire de leur passé, que les peuples civilisés forgent leur avenir et règlent leur destin ; l'histoire, dans son commencement comme dans sa fin, est le spectacle de la liberté, la lutte, la protestation des peuples contre le monde qui les enchaîne. Le jour où la lutte pour la liberté prendra fin, sera la fin de l'histoire. J'espère que la jeunesse arménienne n'oubliera jamais l'histoire de son pays et sera digne de ses ancêtres.
A. ATANASSIAN