Naissance le 1er janvier 1941 à Beyrouth (Liban).
Peintre, graveur
Formé, dans un premier temps, à l'Institut italien des beaux-arts à Beyrouth, sous la direction de Fernando Mannetti et Jean Khalifé, puis à l'École d'art de Guvder, Krikor Norikian s'envole pour l'Italie en 1965 où il fréquente l'académie Pietro Vanucci à Pérouse. Après un bref retour au Liban, il part en France en 1968, où il intègre l'École nationale supérieure des beaux-arts. Il s'y installera, par la suite, durant plusieurs décennies, au cours desquelles il exposera son travail aussi bien à Paris, qu'à Montréal, Ottawa, Los Angeles ou Beyrouth. Quelques-unes de ses œuvres seront acquises par des collections privées et publiques, dont le Musée Sursock, le Musée national d'Arménie et le Musée d'art moderne de Erevan. De retour au Liban en 2003, Norikian a amorcé un léger changement dans sa composition, moins académique classique, mais son art reste toujours imprégné d'une vision tragique de la condition humaine...