2454 Rangement général
 |   | Inscriptions et histoire des églises arméniennes |
Titre : | Inscriptions et histoire des églises arméniennes / auteur(s) : Armen KHATCHATRIAN - |
Éditeur : | Instituto di Materie Umanistiche, Milano |
Année : | 1974 |
Imprimeur/Fabricant : | |
Description : | 20,5x 29,5 cm, 100 pages, couverture illustrée |
Collection : | Ricerca sull'architettura armena ; 8 |
Notes : | |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Architecture religieuse ; épigraphie |
ISBN : | |
Lecture On-line : | non disponible |
Commentaire :IntroductionArmen Khatchatrian, auteur de cet essai, est décédé le 27 juin 1967 : douée d’une grande sensibilité d'esprit, son épouse a voulu nous offrir pour publication le texte dactylographié, encore incomplet, partiellement annoté et corrigé avec l'écriture minimaliste et précise de cet érudit absent. C'est avec une certaine gêne que nous présentons maintenant, dans la série Recherches sur l'architecture arménienne, ce travail qui, à vrai dire, aurait du trouver selon moi une toute autre place. En fait, il s'agit d'une étude probablement fondamentale pour ceux qui souhaitent étudier sérieusement et approfondir leur connaissance de l'architecture arménienne, à travers l'analyse des sources et ne se limitant pas à la simple consultation des discussions générales qui sont trop souvent, en pratique, une répétition mécanique de quelques auteurs. Il est clair que les inscriptions sont, parmi les différents témoignages historiques, les plus convaincants et les plus intimement liés à l'architecture : l'extrême difficulté tient non seulement à la découverte et au recueil des textes épigraphiques, mais aussi à leur lecture et traduction. À cet égard, nous ne pouvons certainement pas oublier l'œuvre monumentale de Barkhoudarian, Corpus Inscriptionum Armenicarum, voll. II, 1960-vol. III, 1967, Erevan, qui n'est cependant publié qu'en arménien et donc pratiquement inaccessible à la plupart des chercheurs occidentaux. Le présent essai de Khatchatrian nous apparaît donc comme un apport d'une importance évidente pour le progrès et la diffusion des études arménologiques : un outil de travail donc et, à ce titre, il justifie son incorporation dans cette série, qui est précisément l'expression de la recherche scientifique et d'études encore en cours et qui veut offrir des contributions de type opérationnel, notamment aux plus jeunes universitaires du domaine. Personnellement, j'ai eu la chance de connaître Armen Khatchatrian et d'avoir avec lui des échanges amicaux d'idées, de matériel scientifique et de correspondances et je me souviens de sa simplicité et de sa modestie en tant qu'homme et en tant qu'érudit. Je me souviens notamment de son intérêt pour nos études et d'un certain regret de ne pouvoir participer personnellement à nos missions en territoire arménien. Je pense que Khatchatrian a voulu que son travail d'historien de l'architecture soit compris comme un « service », c'est-à-dire un apport concret de type moteur, plutôt qu'un travail de pure étude, et de type « concluant » (mais est-il est légitime de croire dire quelque chose de définitif dans le domaine de l'historiographie architecturale, et en général dans tous les secteurs de la culture ?) En ce sens, Khatchatrian nous laisse aussi un enseignement moral et méthodologique profond et extrêmement efficace : je ne trouve donc rien de mieux que de reprendre les paroles de Grabar. qui clôturent la préface de l'ouvrage de Khatchatrian (également posthume et sa thèse de doctorat à la Sorbonne) L'architecture arménienne du IVe au VIe siècle (Paris, 1971) : « Le meilleur hommage à la mémoire de Khatchatrian serait de poursuivre son œuvre et de poursuivre l'étude de l'architecture arménienne ancienne , au sens prôné par les études réunies dans ce livre. Brève note “technique”: - dans le tapuscrit original il manque parfois certaines parties, généralement entre parenthèses, ce qui ne semblait pas possible ou sérieux à essayer d'intégrer. Il s'agit souvent de noms qui auraient dû être transcrits en arménien, ou de dates (garder à l'esprit la différence bien connue entre la datation officielle et la datation arménienne qui commence en 551 après JC). - Les différents monuments sont présentés par ordre alphabétique. - Enfin, un remerciement tout spécial au Prof. Sirarpie der Nersessian, qui a eu la patience de relire les brouillons de cet essai et dont l'expérience et la courtoisie ont certainement contribué au succès de l'ouvrage. Adriano Alpago-Novello Milan, janvier 1974 |
404 Rangement Beaux-livres
 |   | Monuments d'Architecture arménienne |
Titre : | Monuments d'Architecture arménienne / auteur(s) : Armen KHATCHATRIAN - Aperçu historique et légendes de Hrach Dasnabédian |
Éditeur : | Hamaskaine |
Année : | 1972 |
Imprimeur/Fabricant : | Imp.Elie Zakka, Léogravure, Beurouth (Liban) |
Description : | 22 x 28,50 cm, 82+xvi p.+192 p. avec 92 illustrations : photos, dessins, plans |
Collection : | |
Notes : | Album de photographie, accompagné d'une étude d'Armen Khatchatrian, "Architecture arménienne", parue dans la revue "Vostan", numéro 1, 1948-1949 |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Architecture arménienne -- Architecture paléochrétienne -- Arménie |
ISBN : | |
Lecture On-line : | non disponible |
Commentaire : |
403 Rangement général
 |   | L'Architecture arménienne du IVe au VIe siècle |
Titre : | L'Architecture arménienne du IVe au VIe siècle / auteur(s) : Armen KHATCHATRIAN - |
Éditeur : | Klincksieck |
Année : | 1971 |
Imprimeur/Fabricant : | Imprimerie-Photogravure Grama - Nevers |
Description : | 23 x 31 cm, 127 pages |
Collection : | |
Notes : | Bibliotheque des Cahiers archeologiques. 7. _ These. 3e cycle. Lettres. Paris. 1965. _ En appendice: extraits, traduits de l'armenien, de l'Histoire d'Armenie, d'Agathange. _ Bibliogr. pp. 109-112. Index |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Architecture arménienne -- Architecture paléochrétienne -- Arménie |
ISBN : | |
Lecture On-line : | non disponible |
Commentaire :Préface d'André GrabarLe présent ouvrage est un livre posthume. Armen Khatchatrian est décédé le 27 juin 1967, moins de deux ans après avoir soutenu en Sorbonne, comme thèse de doctorat du troisième cycle, l'étude qui fait l'objet de cette publication, et qui lui a valu le titre de docteur d'histoire de l'Université de Paris. L'un des membres du jury de cette thèse, que Khatchatrian remercie dans son avant-propos, Georges Gaillard, est mort également, en septembre de cette même année 1967. Il a fallu, pour publier cette importante recherche, en revoir attentivement le texte, - mise au point dont M. Jean Lassus a bien voulu se charger, et qu'il fit excellemment. Il a fallu aussi revoir les références aux textes arméniens et aux ouvrages d'érudition. C'est Mlle Sirarpie Der Nersessian qui accepta de le faire, et qui a fait profiter ce livre de sa grande expérience en matière d'arménologie. M. V. Ter-Minassian qui aida Khatchatrian pour la partie technique de son étude de la construction arménienne ancienne, a bien voulu se charger de la correction des épreuves de tous les passages qui concernent cette technique. Il suffit de parcourir l'avant-propos rédigé par Khatchatrian, pour le retrouver tel que ses amis et collaborateurs l'ont connu, dévoué sans bornes à l'histoire de l'architecture de son pays d'origine, rêvant de lui consacrer de grands et nombreux travaux. Le sort l'a empêché de réaliser ces projets, mais de cette oeuvre inachevée il nous reste - en dehors d'un certain nombre d'articles substantiels - le présent ouvrage qui n'en est que plus précieux pour nous. Khatchatrian y a essayé d'appliquer à l'étude de certains édifices arméniens anciens, parmi les plus importants, la méthode typologique et fonctionnelle qui mieux que tout autre, permet d'expliquer les monuments, ou du moins tout ce qui dans ces monuments appartient aux diverses traditions qu'avait à observer l'architecte. Au nombre de ces traditions figure aussi la technique de la construction, et c'est pourquoi Khatchatrian s'est longuement arrêté à la technique des bâtiments arméniens, - essai original et d'autant plus suggestif que Khatchatrian avait reçu une formation d'architecte, et que de toutes les traditions qui ont servi à définir les monuments anciens d'Arménie, la tradition technique de la construction a bien des chances d'avoir été la plus particulière à ce pays, la plus "nationale". Le meilleur hommage qu'on puisse rendre à la mémoire d'Armen Khatchatrian serait de continuer son œuvre et de poursuivre l'étude de l'architecture ancienne d'Arménie, dans le sens que préconisent les études réunies dans le présent ouvrage. André Grabar |
2199 Rangement général
 |   | Données historiques sur la fondation d'Edjmiatsin à la lumière des fouilles récentes |
Titre : | Données historiques sur la fondation d'Edjmiatsin à la lumière des fouilles récentes / auteur(s) : Armen KHATCHATRIAN - Tirage à part de la "Revue Handes Amsorya", Vienne, N° 1-12, 1962 |
Éditeur : | Handes Amsorya, Vienne |
Année : | 1962 |
Imprimeur/Fabricant : | Imprimerie mechitariste, Vienne (Autriche) |
Description : | 21 x 29 cm, 35 pages |
Collection : | |
Notes : | |
Autres auteurs : | |
Sujets : | |
ISBN : | |
Lecture On-line : | non disponible |
Commentaire : |
2198 Rangement général
 |   | L'architecture arménienne - Essai analytique |
Titre : | L'architecture arménienne - Essai analytique / auteur(s) : Armen KHATCHATRIAN - Extrait de Vostan, T. 1, N°1, 1948-1949 |
Éditeur : | Paul Geuthner |
Année : | 1949 |
Imprimeur/Fabricant : | |
Description : | 13,5 x 21,5 cm, 90 pages, couverture illustrée NB, avec planches photographqiues |
Collection : | |
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Autres auteurs : | |
Sujets : | |
ISBN : | |
Lecture On-line : | non disponible |
Commentaire :AVANT-PROPOS On peut adopter deux points de vue différents sur les monuments d'architecture : l'historique-archéologique ou l'esthétique-architectonique. Nous essayons de concilier ces deux points de vue. Nous tâchons d'élucider les faits historiques et archéologiques. En partant de ces faits, nous nous proposons d'apprécier la valeur esthétique et architectonique des monuments. Notre méthode dualiste comporte des dangers. En abordant à la fois les sphères d'intérêt des archéologues et des architectes, nous risquons de ne satisfaire ni les uns ni les autres. Mais nos buts modestes doivent nous servir d'excuse. Tout ce que nous voulons, c'est poser certains problèmes sans prétendre les résoudre. Nous renvoyons le lecteur plus exigeant aux brillants ouvrages de Thoramanian, Strzygowski, Baltrusaitis sur l'architecture arménienne. Nous exprimons notre reconnaissance à M. A. Grabar, professeur au Collège de France, qui nous a beaucoup soutenu par ses suggestions scientifiques et son érudition. |
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